Contexte
Le rétrécissement de l’orifice valvulaire aortique est la pathologie valvulaire cardiaque la plus fréquente. Elle concerne 2 à 3% de la population Française de plus de 65 ans et nécessite l'implantation d'une valve biologique pour éviter l'évolution vers une insuffisance cardiaque.
12000 remplacements en moyenne sont réalisés chaque année en France. Malheureusement, toutes les bio-prothèses sont soumises à un risque de détérioration valvulaire dont la survenue est variable.
Objectifs
L’objectif de la cohorte est de d'améliorer la prise en charge des futurs patients par la sélection de prothèses biologiques plus fiables et mieux comprendre les déterminants de leur évolution.
Patients étudiés
700 patients opérés au CHU de Nantes pour une une pose de valve cardiaque biologique de type Mitroflow.
Retrouvez cette opération, réalisée et commentée par Thomas Sénage, dans une vidéo conçue par le Pôle Audiovisuel & Multimédia de l'Université de Nantes en cliquant ici.
Coordinateur